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Les enseignements du dernier rapport du GIEC sont clairs : le réchauffement des températures se poursuivra au moins jusqu’en 2050 et la responsabilité humaine est en cause. 

Mais un réchauffement de +2°C, voire +1,5°C, par rapport à l’ère préindustrielle est toujours possible si nous réduisons fortement les émissions de gaz à effet de serre (GES) très rapidement. 

Le problème ? Pouvoir chiffrer correctement ces émissions pour mieux les contrôler. 

C’est ce qu’on appelle la comptabilité carbone (bilans GES) et de nombreux signaux montrent que ce secteur est en pleine ébullition :

  La SEC, le gendarme de la bourse US, veut imposer un carbon disclosure aux entreprises cotées. Elles devront communiquer de manière transparente leurs émissions directes et indirectes de GES.
  En France, le bilan carbone d’entreprise obligatoire devrait être étendu. Il est obligatoire pour les entreprises de +500 salariés qui doivent le publier tous les 4 ans. Mais